Un livre a toujours deux auteurs : celui qui l’écrit et celui qui le lit.

Jacques Salomé

Mon roman ne peut exister sans vous. Je lui ai donné vie, vous lui donnerez souffle...

Je vous remercie de tout coeur.

Corinne

 

"Corinne peint une fresque familiale avec tact, brossant le portrait de deux héroïnes qui affrontent un quotidien rude. Cette saga traverse avec virtuosité les âges, de 1911 à nos jours, et happe le lecteur jusqu’à la dernière page. L’action de ce roman social ne faiblit pas, sa cadence se maintient avec régularité et les rebondissements nous surprennent à chaque chapitre.

Avec une précision historique, exemplaire, l’auteur façonne l’ordinaire des gens de campagne confrontés aux péripéties des deux guerres mondiales, et ce que celles-ci engendrent. Au travers de ses personnages, Corinne Dollon veut nous révéler les forces mentales et physiques qui résident dans chaque être humain ; on réalise alors que, dans l’adversité, on est plus fort qu’on ne le croit. "
Matthieu Paulo

Ecrivain et Editeur

 

"Une admiration sans borne pour une amie fidèle qui sait lire dans les âmes
et dont la générosité de coeur n'a d'égale que sa curiosité et sa tenacité.
Maître en art, elle aime mettre en mots, en forme, en oeuvre, mettre au
monde, remettre en vie ...Demain peut-être mettra-t-elle en scène ?."

Nanou 15 octobre 2005



Nous avons savouré votre livre "PARFUM D'AMES".Nous attendons avec impatience votre 2ème roman.
Votre finesse d'ecriture nous a séduits, nous vous souhaitons longue vie dans cette passion qu'est l'écriture. Nous vous remercions du bonheur que vous nous avez procuré. A bientôt de vous lire de nouveau. Nous avions promis de vous écrire à votre vernissage, nous avons tenu notre promesse.


Sincères salutations
Monsieur Carles et Madame Delamare
laboutiguette
46090 Labastide-Marnhac
Le 28 Octobre 2005

 

En quelques jours j'ai dévoré ce livre, je me suis laissée envouter par ce parfum d'âmes. C'est un livre superbe qui m'a profondément émue. Corinne, j'espère que tu envisages d'autres histoires aussi poignantes et pleines de vie.

Martine Noirjean 29 octobre 2005

 

Un grand merci,
pour ce merveilleux roman, un grand moment de plaisir, emporté au travers du temps.
Pas de temps d'arrêt, plein d'émotions, j'ai pleuré avec elles, j'ai souri du destin qui réunit à nouveau les gens qui s'aiment ; j'ai vibré des horreurs de ces guerres qui ont brisé leur enfance, je l'ai tenu sans pouvoir le lâcher. Il fut pour moi une confiserie, ces bonbons acides et doux avec un goût de encore, je voulais juste te dire merci.....

Victoria Dumur,

 

Je viens de tourner la dernière page de votre roman avec regret car j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à partager les vies de Louise et Jeanne. J'ai été profondément touchée par la force de vie de ces deux femmes qui nous donnent une belle leçon de courage.
Sincères félicitations pour cet ouvrage en espérant que le prochain suivra rapidement.
Pour la petite histoire, Valentin a respiré le livre plusieurs fois avant de me déclarer: " il sent bon le livre de Corinne mais c'est normal , il s'appelle "Parfum d'âmes"! "

Christelle Vedovato

 

Que Corinne se rassure !!

Passer après Clavel a permis de confirmer ce que je pressentais à la lecture des extraits : Parfum d’Ames est un très beau livre.

L’histoire est belle, simple et profonde. On découvre, au travers de la vie de ses femmes auxquelles on s’attache au fil des pages, les réalités d’une époque, ses drames, ses difficultés, ses joies, de manière discrète et harmonieusement menée.

Les personnages sont authentiques, remarquablement décrits et on les voit prendre vie dans notre imagination au fur et à mesure que l’on avance dans la lecture.

L’époque, traversée par ses femmes, est décrite avec justesse, les drames sont exposés avec sincérité, mais sans côté mélodramatique qui est admirablement évité tout au long du livre !

Le style est beau, sobre mais efficace. Pour un 1er ouvrage on ne peut qu’admirer la retenue qui a su éviter de tomber dans le travers de descriptions surchargées coutumières des auteurs « qui se lancent ».

Je trouve la « chute » du livre admirable d’émotion, d’espoir et de beauté. On finit le livre avec le sentiment d’une histoire « bien achevée » (ce qui n’est pas évident lorsqu’on écrit la chronique d’une vie…).

Katia l’a lu également et nous remercions Corinne pour cette belle histoire qui nous a beaucoup plu et nous la félicitons pour la qualité de son écriture. Nous sommes de « grands » lecteurs et nous sommes d’accord avec ceux qui pensent que Corinne n’a pas seulement écrit un livre, elle offre à la littérature française un auteur juste, sincère et généreux.

A quand le deuxième ?.....

Nous vous souhaitons à tous les 5 d’excellentes fêtes de fin d’année et un très joyeux Noël !

Katia et Olivier Rabilloud ( Nantes le 23 Décembre 2005 )

 

Des émotions, j'en ai eu beaucoup. "Parfum d'âmes" est merveilleux. Quand je l'ai commencé, je ne voulais plus m'arrêter. Et plus tard, quand il allait me quitter, je ne voulais plus le lire car je savais qu'il allait me manquer. Il faisait partie de ma vie. J'ai eu l'impression de me retrouver dans cette histoire. Beaucoup de gens vont se retrouver. Depuis, je n'ai pas eu envie d'ouvrir un autre livre...

Annie Tekatlian (automne 2005)

 

Parlons de 2005 et de la naissance de cette saga familiale dont les fragances ont exalté nos sens...

J'ai aimé la force, la volonté, l'énergie, la détermination de Louise et de Jeanne dans leurs moments d'enthousiasme et d'enivrement dans leurs moments de tourmente. J'ai préféré la force tranquille et l'humanité de devoir de celle qui a assumé le trait d'union permanent de cette saga : Marthe. Principe moral de conscience, c'est son parfum qui est celui de la vie.

Roger Tirel (février 2006 )

 

Et bien le voilà ton 4ème enfant!!!
Je vais être obligé de le lire maintenant que ce n'est plus interdit!
FELICITATION et BRAVO
Marc Gozillon

 

J'ai profité de mon voyage chez ma soeur à Montpellier pour lire le livre de Coco et n'étant pas enclain à ces histoires j'avoue avoir été conquis par son récit au point de dévorer le livre. Je l'ai aussitôt prété à ma fille. J'ai trouvé cet écrit vraiment formidable. En 1936, j'étais trop petit mais il me reste quelques flashs racontés par mes parents. Quant à l'épopée de ces deux femmes, j'ai vraiment vibré avec elles. Je le relirai sûrement quand ma fille l'aura fini....Franchement, le livre de Corinne m'a pris aux tripes.

Mes amitiés.

William Goldstein (19 mai 2006)

 

... Un étrange lien de dépendance se tisse entre les lignes et les yeux du lecteur. Peu à peu, les choses s'emballent et les yeux courent aussi vite qu'ils peuvent.

...Te dire encore que j'ai prêté ce livre à une amie saisie instantanément aussi.

Bravo, bravo ! L'acte d'écrire dans une telle intensité et densité, vu ton contexte familial, reste pour moi un mystère. Te dire aussi combien la dernière page où tu remercies ceux et celles qui veillent sur toi et participent à ce que les mots adviennent, m'a bouleversée.. Mon amitié,

Nadine Boyals-Joseph

 

N'étant pas un fan de lecture et n'y consacrant que peu de temps, j'ai fait l'effort de mettre ce livre dans mes bagages de vacances. En effet, maman l'avait beaucoup apprécié et me recommandait sans cesse de le lire.

Quelle ne fut pas ma surprise, lors des dernières pages de me voir entraîné avec passion dans cette histoire ! J'ai aimé ( dire adoré ferait trop "Bobos"), j'ai partagé leur histoire.

Merci donc aussi bien pour l'histoire ce cette famille ( vécue ?), des détails de l'Histoire ( qu'il ne faut pas oublier), le style, la sensibilité.

J'ai passé un excellent moment et cela m'a donné envie de lire à nouveau.

Pierre Sarlande ( fin août 2006 )